1904-06-14

Cher Monsieur Jacobsen
Votre lettre est bien agréable pour moi, et je suis heureuse que l’ombre vous soit arrivé très bien.
Le Victor Hugo sera pour l’automne c’est cequi me fera retarder mon voyage pour le printemps de l’anné suivante ou de grand coeur j’irai vous serrer la main.
Le prix de l’ombre sera laissé à votre appréciation.
Car maintenant je suis entrainé par le mouvement genéreux que vous avez pour votre musée, et qui gagne vos amis, et bien que je n’ai pas encore conclu
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l’affaire de Bourgeois de Calais à Bruxelles, je pense que de m’importe de quelle facon quelle se termine mon Victor Hugo, sera toujours a vous grandieusement.
Agreez cher Monsieur l’expression de mes sentiments affectueusement devoués
Aug. Rodin

14 juin 1904