1888-09-23

Cher Monsieur,

Nous avons bien recu votre aimable double lettre et nous sommes hereux d’apprendre qu’il parait que le voyage ne vous a pas fait de mal.
Il y a des moments que la vie ne donne qu’une fois: le premier voyage à Bone, la premier lecture au audition d’un beau poëm ou d’un symphonie de Beethoven.
Pour moi, cher Monsieur Dubois, votre séjour ici a été un de ces moments

Merci -mille merci – de ce que vous avez entreprendre avec votre santé delicate, ce voyage à Copenhague et nous laisser un souvenir auquell – Madame Jacobsen comme moi – nous attachons nos sentiments les plus profonds.
Comme on a cru que vous partiriez Vendredi soir et comme je n’ai pas pu aventir tout le monde – il s’était réuni un grand nombre de personne desireux de vous dire le dernier adieux.
Surtout l’université et le monde artistique était répresentés par une société très choisie et non (..)
Monsieur Steenstrup, professeur de l’université m’a prié de vous dire adieux et de vous souhaites un bon et heureux retour au nom de ces personnes.

Le Dr. Jul Lange a surtout été très désolé de ne pas pouvoir vous sesser la main avant votre départ.

Madame Jacobsen se joint a moi en présentant nos plus respectueux homage à Madame Dubois et salutations biens sincères à Messieures vos fils.

Nous vous prions de croire à nos sentiments les plus dévoués.

Carl Jacobsen
Ny Carlsberg