Carl Jacobsens Brevarkiv
1888-08-04
Afsender
Carl Jacobsen
Modtager
Paul Dubois
Dokumentindhold
Carl Jacobsen skriver at han håber på fint vejr til september når Dubois kommer på besøg. Juli har været præget af (alt for) høje temperaturer. CJ råder Dubois til at tage via Hamborg og dampfærgen fra Kiel til Korsør. CJ fortæller at han har tendens til søsyge, men han er aldrig blevet syg på netop den overfart.
CJ tager til Tyskland den 8. men er tilbage igen den 18. august. Han giver Dubois sin adresse på hotellet hvor han skal bo i München, hvis han skulle få brug for at kontakte ham.
Transskription
Ny Carlsberg
4 – 8 – 8.
Cher Monsieur,
C’est fort hereux que vous ne soyez pas venus ici au mois du Juillet.
Le temps à continue à être détestable au plus haut dégré.
Mais d’autant plus je peux espérer de pouvoir vous offrir du beau temps au mois de 7br!
Pour venir à Copenhague je vous conseille, si le vent n’est pas tout à fait violent, de prendre la route par Kiel-Korsør en partant de Hambourg le soir.
Les bâteaux à vapeur sont excellent, vous donnez tranquillement sans rien sentir de la mer, qui ordinairement est tout calme.
Le lendemain à 7hr matin vous êtes à Korsøer et à 10h30 à Copenhague.
Je suis trés sujet au mal de mer, mais j’ai fait ce voyage plus de vingt fois sans jamais avoir été malade.
C’est le plus commode de quitter Hambourg le soir – ou bien après une journée passée à Hambourg ou bien en continuation du train de Cologne on de la Hollande.
Si toutefois celà ne vous courient pas et que vous désirez quitter Hambourg le matin, il vaudra mieux, si vous crainquez la mer, passer par Frédéricia.
Mais c’est plus – beacoup plus fatogant, attendre que c’est plus loy**trés
Enouyeux et qu’on est derange quatre fois pour aller du chemin de fer en bâteau et du bâteau en chemin de fer. Surtout la nuit cette sort est presque intolerable.
Je pars le 8 pour l’Allemagne mais je serais de retour ici le 18. Août.
Si vous avez quelques communication à me faire mon adresse est du 12 a 14 Août Hotel Marienbad. Munich.
Veuillez agréer, cher Monsieur, l’assurance de mes sentiments les plus affectueux
Carl Jacobsen